jeudi 23 mai 2013

Naissance d’un think tank en Marketing et Communication





Khalid Baddou lance l’Association Marocaine du Marketing et de la Communication. Il nous présente les objectifs de cette nouvelle structure.

Khalid Baddou, bien connu pour son «militantisme» au profit du marketing, vient de lancer les premières fondations d’une Association marocaine du marketing et de la communication (AMMC), dont le but est de devenir un véritable relais de développement marketing et de croissance économique au Maroc. Ce jeune trentenaire est également le président de l’Association des lauréats de l’université Al-Akhawayn et a exercé chez Nestlé et Merck Sharp & Dohm. Il nous explique les tenants et aboutissants de son initiative.

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mardi 21 mai 2013


(إنشاء الجمعية المغربية للتسويق والتواصل (هسبريس

إنشاء الجمعية المغربية للتسويق والتواصل
أطلق مؤخرا مهنيو التسويق والتواصل جمعيتهم، حيث شكلت لجنة تحضيرية للإعداد للجمع العام الذي سيضم مديرين ومسؤولين ذوي خبرة في الميدان.
هذا المشروع الذي انطلق منذ سنتين على مواقع التواصل المهني، يرمي أيضا مع انطلاقته العملية إلى إنشاء "مجلس استشاري يتألف من شخصيات معروفة من الميدان، بالإضافة إلى مدراء تنفيذيين ورجال أعمال وأكاديميين. وقد أكدت العديد من الأسماء رعايتها لهذا المشروع.
وقال خالد بادو، منسق اللجنة التحضيرية، إن الأهداف وراء إنشاء هذه الجمعية هي كثيرة: "نحن نريد أولا خلق فضاء لتبادل الخبرات بين المتخصصين في هذا القطاع وتعزيز المقارنة وتحديث الوسائل وطرق الاشتغال. هدفنا هو تقوية الدورالاستراتيجي لمسؤولي التسويق والتواصل داخل الشركة مما سيعود بالنفع على المقاولات وعلى المغرب عموما من خلال الخبرات الفردية لأعضائنا".
وتقدم الجمعية برنامج عمل غنيا ومتنوعا. فبالإضافة إلى المؤتمرات الموضوعاتية والموائد المستديرة، ستقوم الجمعية بخلق روابط مع الشركات والوكالات الخدماتية في مجال الإشهار والاتصال من جهة، وكذلك الميدان الأكاديمي من جهة أخرى.

vendredi 10 mai 2013

mardi 7 mai 2013

Technocrates


Le gouvernement remplit sa fonction sur le plan de la démocratie et sur le plan politique. Benkirane est à la tête d’une coalition majoritaire confortable, qui ne lui a jamais fait défaut lors de votes malgré les polémiques et controverses. Le problème réel du Maroc est ailleurs. Il n’est pas politique.

La situation économique se dégrade dangereusement. La conjoncture internationale y est pour quelque chose, certes, mais aussi l’héritage du gouvernement précédent et surtout l’incompétence, sinon l’amateurisme, d’une bonne partie de l’équipe actuelle.

Gérer un pays en démocratie implique deux choses: un activisme politique efficient pour accéder au pouvoir et s’y maintenir, et aussi une compétence technique indispensable pour ne pas mener ce pays à la ruine.

Dans le cas actuel, nul ne conteste que Benkirane et son équipe ont donné un souffle nouveau à la vie politique, devenue plus animée, plus polémique, mais aussi plus profonde, puisque nous avons de vrais débats de société. 


Mais le deuxième volet, la compétence technique, manque cruellement. Elle est indispensable pour gérer le patrimoine existant et pour le faire prospérer au mieux. De ce fait, la prudence et le bon sens imposent aujourd’hui une recomposition du gouvernement Benkirane. Sans renoncer à l’enrichissement politique actuel, cette recomposition devrait être axée sur l’efficacité technique et le savoir-faire indispensables dans une phase aussi difficile que celle que le Maroc traverse.

Il ne faut pas hésiter, si cela est nécessaire, à enrichir le gouvernement de compétences technocratiques. Il n’y a pas de mal à cela, cela ne remet pas en cause l’équilibrage politique et démocratique.

Indépendamment des sensibilités politiques des uns et des autres, il est nécessaire pour tous et dans l’intérêt supérieur du pays, que ce premier gouvernement de la nouvelle Constitution réussisse également la gestion des affaires publiques.





Abdelmounaïm DILAMI

L'Economiste (26/04/2013)

Khalid Baddou

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Fan du Maroc, professionnel de la Communication et Media, en cours d'initiation à la politique...